- Les Mia Bootie de Candela, très springtime, couleur "Charcoal" ou "Brown" :
- Les magnifiques boots noir Devotte, à la fois raffinées et rock'n'roll :
- Les sandales F Troupe, très chic, en marron ou noir vernis :
- Et un gros coup de coeur pour ces derbies, F Troupe toujours, absolument fantastiques :
Ne sont-elles pas à tomber ??
Voilà, je vous l'avez dit.
Encore une séance de virtual window licking (*lèche-vitrine virtuel) comme j'en fais souvent en ce moment, qui ne donnera rien de concret (i.e. pas de facteur aux bras chargés et de séance d'auto-admiration de mes pieds devant le miroir) sauf si
1. Je craque complètement et m'endette (encore davantage),
2. l'Homme craque complètement, victime de mes supplications de petites fille ("Regaaaaarde comme elles sont beeeeelles ! Je les veux, je les veux, je les veux ! Tu veux pas me les acheter, diiiis ?? S'ilteuplaiiiit..." + battements de cils et regard de cocker) Si l'Homme - fait rare - se trouve lui-même séduit par ledit objet, dans ce cas, c'est no drama et in ze pocket ;-)
3. Un signe "+" suivi d'un nombre à, disons, 4 chiffres, apparaît lors de la consultation de mon compte bancaire...
Je vous assure que chacune de ces 3 options sont probables, étant donné que je suis :
1, une acheteuse compulsive tout sauf raisonnable (surtout quand mon dernier craquage est assez éloigné pour que j'oublie la culpabilité qui alla avec),
2, l'Homme est particulièrement généreux avec la petite fille qui lui sert de copine, surtout si elle le bassine pendant des heures. Ben oui, la pauvre, elle est tellement obsédée par cette magnifique paire de chaussures, qu'elle ne pense plus qu'à cela et à comment elle va bien faire pour pouvoir se les offrir... et c'est là que l'Homme - que dis-je, le Chevalier ! - qui aime à la fois faire plaisir à sa belle et lui faire oublier ses soucis (vous savez : le "Je suis une pauvre fille, j'ai plus rien à me mettre et j'ai pas de sous...") accourt à son secours et, même s'il est lui-même un peu short niveau financier, va choisir de combler sa bien-aimée...
3, J'attends effectivement une coquette somme qui pourrait me faire tourner la tête, si je n'en avais pas déjà dépensé la moitié par avance... (Incorrigible, je vous l'avais dit)
Je pense donc que cette histoire va se terminer par une longue et pénible séance d'élimination (basée sur des critères raisonnables - oh, étonnant ! - du style : la saisonnalité, la longévité à vue de nez, et puis le rapport originalité/prix), qui sera suivie par un dilemme du "j'achète/j'achète pas" pour enfin s'achever par un sentiment de fierté pour avoir résisté à la tentation (jusqu'à une prochaine fois) teinté d'une pointe de frustration, ou, par un déballage de colis effrené, les yeux qui pétillent, le souffle coupé, en espérant qu'elles sont aussi belles en vrai que sur le site, et qu'elles soient parfaitement à mes pieds réjouis...
Merci Internet, les boutiques en ligne, les marques pages qui s'amassent et que l'on ouvre une bonne dizaine de fois avant de craquer, ou pas.
Ah si j'étais riche... eh ben je serais encore pire ;-)
Voilà, je vous l'avez dit.
Encore une séance de virtual window licking (*lèche-vitrine virtuel) comme j'en fais souvent en ce moment, qui ne donnera rien de concret (i.e. pas de facteur aux bras chargés et de séance d'auto-admiration de mes pieds devant le miroir) sauf si
1. Je craque complètement et m'endette (encore davantage),
2. l'Homme craque complètement, victime de mes supplications de petites fille ("Regaaaaarde comme elles sont beeeeelles ! Je les veux, je les veux, je les veux ! Tu veux pas me les acheter, diiiis ?? S'ilteuplaiiiit..." + battements de cils et regard de cocker) Si l'Homme - fait rare - se trouve lui-même séduit par ledit objet, dans ce cas, c'est no drama et in ze pocket ;-)
3. Un signe "+" suivi d'un nombre à, disons, 4 chiffres, apparaît lors de la consultation de mon compte bancaire...
Je vous assure que chacune de ces 3 options sont probables, étant donné que je suis :
1, une acheteuse compulsive tout sauf raisonnable (surtout quand mon dernier craquage est assez éloigné pour que j'oublie la culpabilité qui alla avec),
2, l'Homme est particulièrement généreux avec la petite fille qui lui sert de copine, surtout si elle le bassine pendant des heures. Ben oui, la pauvre, elle est tellement obsédée par cette magnifique paire de chaussures, qu'elle ne pense plus qu'à cela et à comment elle va bien faire pour pouvoir se les offrir... et c'est là que l'Homme - que dis-je, le Chevalier ! - qui aime à la fois faire plaisir à sa belle et lui faire oublier ses soucis (vous savez : le "Je suis une pauvre fille, j'ai plus rien à me mettre et j'ai pas de sous...") accourt à son secours et, même s'il est lui-même un peu short niveau financier, va choisir de combler sa bien-aimée...
3, J'attends effectivement une coquette somme qui pourrait me faire tourner la tête, si je n'en avais pas déjà dépensé la moitié par avance... (Incorrigible, je vous l'avais dit)
Je pense donc que cette histoire va se terminer par une longue et pénible séance d'élimination (basée sur des critères raisonnables - oh, étonnant ! - du style : la saisonnalité, la longévité à vue de nez, et puis le rapport originalité/prix), qui sera suivie par un dilemme du "j'achète/j'achète pas" pour enfin s'achever par un sentiment de fierté pour avoir résisté à la tentation (jusqu'à une prochaine fois) teinté d'une pointe de frustration, ou, par un déballage de colis effrené, les yeux qui pétillent, le souffle coupé, en espérant qu'elles sont aussi belles en vrai que sur le site, et qu'elles soient parfaitement à mes pieds réjouis...
Merci Internet, les boutiques en ligne, les marques pages qui s'amassent et que l'on ouvre une bonne dizaine de fois avant de craquer, ou pas.
Ah si j'étais riche... eh ben je serais encore pire ;-)
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