lundi 25 mai 2009

Préoccupations nocturnes + Musique

Hier soir, j'ai regardé la Nouvelle Star (je sais, c'est mal).
Puis, quelques épisodes de 90210 en streaming.
Une fois la limite atteinte 1. de l'heure avancée qui allait compromettre toute activité matinale aujourd'hui /2. du temps de visionnage sur Mégavidéo (les bâtards, c'est toujours juste avant la fin d'un épisode...) j'ai décidé de bouquiner un peu (j'étais encore en pleine forme), un livre de merde d'ailleurs, puis enfin de dormir (il devait être au moins 3h.)
Et comme à mon habitude une fois enfouie sous la couette, j'ai pensé. Et sans vraiment savoir pourquoi, j'en suis arrivé à me demander, si j'étais une star, quelles seraient ma liste d'exigences pour pouvoir passer la nuit dans un hôtel (passionnant, vous l'avouerez). Et ça donne ça.

Je voudrais à tous prix, assouvir les caprices suivants :
- Une taie d'oreiller en éponge pour remplacer mon coussin fétiche et bien dormir (en plus de 2 oreillers normaux, of course)
- Une couette moelleuse (et non une vieille couverture en laine + draps blancs qui grattent - berk)
- Des serviettes de bains extra larges et bien épaisses
- Un énorme bouquet de marguerites
- Un balcon avec mini table et chaise pour prendre le petit déjeuner/fumer
- Un room service qui m'apporterait des gaufres aux fraises et un jus d'orange fraîchement pressé le matin (comme à la télé... ils me donnent toujours faim avec leurs p'tit dejs de reines dans Gossip Girl)
- Une grande baignoire (et pas les trucs sabots dans lesquels il faut s'asseoir - un bain c'est fait pour s'y allonger, recouverte de mousse) avec un épais tapis, pour ne pas avoir à faire subir à mes pieds la fraîcheur du carrelage en en sortant
- Un chat à dorloter (qu'on me prêterait bien sûr. Quoi, ça existe pas ?)
- Le bar de l'hôtel devra impérativement servir des mojitos à la fraise
- La déco doit être cosy, colorée et originale (j'aime bien l'idée des chambres à thèmes aussi, comme pour l'hôtel Kleber à Strasbourg : 'Épices et Saveurs', 'Fruits du Verger', 'Idées Sucrées')

Voilà, ce sera tout ! Rien de très extravagant, si ?
Et vous, quelles seraient vos petites exigences de star ?

Je vous reviens la semaine prochaine, après un WE avec l'Homme à Nantes (d'où peut-être le sujet - futile, cela va de soi - de l'hôtel, qui a fait surface dans mon cerveau à une heure tardive) et quelques jours à Paris.

En attendant, c'est l'heure d'abreuver vos petites oreilles avec une playlist spéciale farniente au soleil avec les pieds qui bougent. Allez, je sais que vous aimez ça.





Lucette, action woman de l'après midi uniquement.

jeudi 21 mai 2009

Maastricht*

Hier, un ami m'a proposé de passer la journée à Maastricht, histoire de profiter du beau temps pour se balader un peu dans ce beau pays qu'est la Hollande.
Cela faisait presque 10 ans que je n'y avait pas mis les pieds (je dois avouer que la dernière fois fut motivée par des raisons moins politiquement correctes... ahhh l'adolescence !)
Cette fois-ci, j'étais donc bien décidée à découvrir la ville comme elle le mérite, appareil photo sous le bras, mitraillant chaque petit détail qui attirait mon attention.
Bien évidemment, il s'agissait d'une visite éclair (nous y avons passé à peine 5h), donc, à défauts de visites culturelles, gastronomiques ou encore modesques (je n'ai même RIEN acheté, vous y croyez?) je me suis concentrée sur ce qui fait pour moi le charme de cette petite ville, voire de ce pays, à la mentalité et l'esthétique tant différentes de la nôtre : de jolies vitrines, une architecture faite de briques colorées (j'adooore !), une propreté extrêmement agréable (on se croirait à Disney!), une multitudes de vélos et enfin une sensation de vacances tranquilles, qui devait beaucoup au soleil, malheureusement très rare dans les environs.
Une petite sélection en images, pour celles et ceux qui n'y ont jamais mis les pieds. Bonne visite !






























































































































































































































































































































































































































































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Je compte bien y retourner, avec l'Homme cette fois-ci, pour un petit week end qui rendra honneur à toutes ces belles vitrines !

*Billet initialement intitulé "L'herbe est toujours plus verte ailleurs" mouahaha

Lucette, qui bouge ses fesses parfois

lundi 18 mai 2009

(Lady*) Gaga

... de Beirut, mon nouveau chat !


(Enfin, il sera officiellement à moi si tout va bien et que j'ai bientôt un nouveau job et un appart')
Né(e) il y a quelques jours seulement chez l'Homme, j'ai trop hâte de lui faire des calinous.
Il faut savoir que quand je vois un chat, je me transforme en hystérique débilos : et vas-y que je lui parle comme un à un bébé (attardé même), que je lui raconte tout un tas de choses très sérieusement, que je le caline et le caresse encore. Tout cela sous le regard incompris de l'Homme... qui se sent alors un peu seul en face du couple moi + chat.
Je suis tellement folle des chats que je me retiens de m'arrêter en voiture et de descendre pour aller le caresser lorsque j'en croise un sur ma route.

Pour ma défense :
1: je ne suis pas la seule (une de mes meilleurs amies et encore plus atteinte que moi)
2: j'ai perdu mon chat à la St Valentin, et je dois sûrement faire un transfert d'affection sur toutes les boules de poils que j'aperçois.
3: ça aurait pu être pire (les dauphins??)
4: c'est quand même trop mignon un chat

Ah, et "Beirut" en référence à l'un de mes "groupes" préférés...



Lucette, parce que les chats le valent bien.
*jeu de mots pourri, mais je l'assume

dimanche 17 mai 2009

Le début de la fin ?

Damages, House, Grey's, Desperate, The Big Bang Theory, et bientôt les autres : il est très bientôt l'heure des season finale, à mon plus grand désarroi. Je me suis même fait une frayeur tout à l'heure en regardant l'épisode 224 de Gossip Girl se terminer assez lamentablement, persuadée qu'il s'agissait du dernier de la saison... mais, ouf! ce n'était qu'une fausse frayeur puisque quelques minutes plus tard j'ai pu visionner le trailer du (vrai) season finale 225 (qui, contrairement à son précédent, à l'air VRAIMENT génial..) Bref, vivement la semaine prochaine ;-)

Vous l'avez donc compris, et je l'avoue : je suis une fille comme les autres, qui à défaut (ou plutôt pas) de se goinfrer de chocolat, est boulimique de séries américaines en tous genres. Quand j'appuie sur le bouton play, c'est un peu comme si j'entrais dans une monde parallèle, celui des plaisirs simples de la vie. Des moments Nutella quoi. Ceux parmis d'autres qui comblent mon ennui ou ma lassitude de job hunteuse, chaque jour de la semaine correspondant à un rituel du visionnage du dernier épisode de mes s(ch)éries préférées... D'ailleurs, il ne faut pas me déranger/parler/téléphoner pendant un épisode, au risque de porter une sérieuse atteinte à mon humeur.
Parfois, je me dis (pour d'autres raisons également), que je suis une geek un peu no life (pléonasme?) et que je ferai mieux de lire/sortir/bouger mon fessier au lieu de passer autant de temps devant mon écran d'ordinateur, mais je trouve que ce genre de pause du cerveau est plus efficace que bien d'autres "activités".
Prenons les livres par exemple : j'adore lire. J'ai toujours beaucoup lu, mais alors vraiment beaucoup, et très vite en plus. Et parmi les nombreux livres que j'ai lu, je n'ai eu la chance de tomber sur des livres réellement prenants/ dépaysants que trop rarement à mon goût. Normal, vous allez me dire. Oui mais il me suffit d'enchaîner 2-3 bouquins un peu bof, un peu mous du genou, en les faisant bien trainer (genre moins d'une dizaine de pages par jour - mais je suis obligée de les finir sinon c'est pas du jeu), pour me détourner de la littérature et m'engouffrer encore davantage dans la folie des séries.

L'autre avantages des séries, outre le fait que quand on en aime une, on sait qu'on va forcément passer un bon moment en sa compagnie chaque semaine, c'est qu'il s'agit évidemment de "séries", comme un mini bon film, avec plein de suites, une évolution. On a le temps de s'attacher aux personnages, d'entrer dans certaines intrigues et leur suspens, de vouloir connaître la suite tout en sachant qu'elle arrive bientôt. C'est quelque chose qu'on attend impatiemment, rassurée de savoir qu'il y a effectivement une suite. Fait assez rare (nombreuses sont les fois dans la vie où l'on attend sans savoir; il s'agit souvent de l'angoissant 'rappelera, rappelera pas?' d'ailleurs...) donc précieux.

Au niveau litéraire, les seuls livres dont l'effet pendant et après la lecture s'est apparenté brillament à l'effet que peuvent me faire les séries, sont les géniales San Francisco Chronicles d'Armistead Maupin.
6 en tout, que j'ai gobé l'été dernier, fermant le 1er pour ouvrir le second et ainsi de suite.
Malheureusement, il n'y a que 7 tomes, et donc, à la fin du 7ème (que l'Homme m'a offert la semaine dernière), je saurai que c'est la fin, pour de bon. (A moins que... Armistead si tu m'entends...) C'est d'ailleurs la raison pour laquelle je ne l'ai pas acheté sitôt sorti/dévoré sitôt reçu : faire durer le suspens. Je sais que la suite m'attend patiemment sur mon étagère.
Ah et puis, j'ai décidé de patienter jusqu'à l'été, ma période préférée de l'année, et celle que j'associe au fameuses chroniques de San Francisco (la Californie, le soleil, tout ça tout ça). Je ne voulais pas ruiner la dernière (ou devrais-je dire ULTIME) tome en l'associant à la morne ambiance de l'hiver et ses ciels gris.

Suis-je complètement folle d'aimer à ce point les "séries" ?
Je suis sûre que, mise à part le fait qu'il y a quand même moult séries vraiment bien en ce moment, cette tendance à l'addiction aux suites cache quelque chose de plus sérieux... Sentimentalisme ? Peur de l'abandon ?

Je vous laisse en vous conseillant vivement de vous procurer, si ce n'est déjà fait/lu, les fameuses chroniques, qui, même si elle datent du milieu des années 70 à l'origine, s'intègrent parfaitement dans le paysage humain/sexuel/culturel actuel.
D'ailleurs, je me demande si Anna Gavalda n'a pas été influencée par ce cher Armistead pour son block busteur d'Ensemble, c'est tout, dont les grandes lignes (la vie en communauté de personnes d'âges, de caractères, et de sexe différents formant une sorte de famille) ressemble de façon assez troublante aux aventures des habitants du 28 Barbary Lane.

Lucette, aimerait pouvoir compenser le manque de séries par un bon p'tit jogging (énorme LOL pour le coup...)

mercredi 13 mai 2009

La petite maison dans la prairie

Depuis quelques semaines, après s'être imposé comme LE motif phare sur les podiums (Cacharel et ton liberty, tu m'as rendue aveugle) le liberty a littéralement envahi la blogo.
C'est le printemps, les imprimés fleurissent, vous me direz.
Mais cette année, il faut l'avouer c'est aussi et pour beaucoup parce que "C'est la mode" (je parie qu'il existe même un groupe sur Facebook "J'aime le liberty")
Oui mais non.
Moi si j'aime le liberty, c'est parce que je l'ai toujours aimé, et j'en ai toujours porté. Je me souviens même d'une petite robe smokée liberty qui fut ma préférée au temps où je portais presque encore des couches.
Je suis une romantique, j'aime les fleurs, et de préférences, petites. Ça en devient presque compulsif, dès que j'entre dans un magasin, ce sont les premières pièces que je vais regarder, celle avec des fleu-fleurs. J'aime ce côté à la fois anglais et champêtre de l'imprimé en question. En liberty, je me sens fraîche, féminine, naturelle (ça fait un peu pub pour déo, là, non ?)

La preuve, en images : mes pièces liberty chéries, indémodables et intemporelles, quoiqu'on puisse en dire l'année prochaine... ou celle d'après.

Du plus vieux au plus récent :

- Une blouse smokée Avant Première, quasi vintage, trèèès légère(ment transparente) :

- Un bustier Castro (une de mes marques fétiches lorsque j'habitais en Allemagne) :

- Un débardeur Promod, du printemps dernier :

- Un top Asos, avec plastron et manches bouffantes, du printemps dernier également :

- Un serre-tête liberty, acheté dans un petit marché à ciel ouvert de Camden, à Londres, en novembre dernier :

Tout ça pour vous dire que c'est donc tout naturellement que mes yeux sont restés collés - non pas au moment d'un réveil difficile - mais sur cette robette APC qui grâce à la combinaison liberty + tissu smoké + fines bretelles, met en émoi la jeune fille en fleur que je suis, persuadée qu'elle a été faite pour moi (APC, merci les gars.)

Robette smokée "Poppy and Daisy", APC, 140€

Jettez un oeil sur le site de la marque, la collection P/E 2009 vaut vraiment le détour !

Lucette, qui va faire fleurir sa CB

mardi 12 mai 2009

Si seulement...

... cette absence de post était due à une petite semaine de vacances au soleil...
Mais non. Enfin, si, je suis bien partie quelques jours, au pays de l'Homme (ou du foie gras). Baptême du filleul de l'Homme oblige.
Puis je suis revenue, because mariage du frangin (le mien, vous suivez), le week end dernier.
Et donc voilà. Préparatifs, suite de repas de famille interminables, puis dur retour à la réalité (sommeil à rattraper: ça, c'est fait. bronchite due au clopage intensif : presque réglée. par contre, le petit bidon post fêtes est à éradiquer au plus vite - note pour moi-même : verrouiller le placard à gâteaux) On se fait vieux les enfants...
Ah et puis entre temps, il y a aussi eu quelques entretiens (ben oui, il faut bien continuer la quête du job parfait) et quelques soirées entre amis. On attendra les résultats des 1ers en croisant les doigts et en ayant le coeur qui palpite à chaque sonnerie de portable.
Bref, la vie quoi.
Et comme l'appareil photo de l'Homme a rendu l'âme, je ne peux même pas vous faire part du résultat (modesque, j'entends), de toute cette effervescence.
Je reviens donc très vite (enfin... pas ce soir, c'est la Nouvelle Star... et quoiqu'en dise Cerizz, je suis obligée de regarder, au moins pour voir si nos candidats chéris ont réussi à se faire rickroller) avec des photos, mettant en scène Lucette et ses achats fous-fous (vous vous souvenez, les fameuses chaussures ?) parfois avec quelques verres dans le nez, je m'en excuse par avance...

Lucette, qui se serait remise plus vite de ses émotions/excès, si elle s'était dorée la pilule au soleil.